Hier soir le match n’a pas provoqué les débordements
que je craignais. Une télé était à notre disposition dans la
salle commune du gîte où tous les pèlerins « footeux » s’étaient réunis. La tradition jacquaire veut qu’à 22 heures toutes les
lumières des dortoirs soient éteintes, mais notre hospitalier a eu la
gentillesse et surtout l’intelligence de nous accorder des prolongations pour assister
à la totalité du match. Décision pleine de bon sens
car, davantage que le score, je pense c’est
l’extinction de la télé qui n'aurait certainement pas manqué de provoquer une
émeute.
Très belle étape, dans la lignée des précédentes. Tout est là pour que ce soit beau : le temps ensoleillé, des paysages variés où défilent sous nos yeux, champs de maïs, de pommes de terre, et toujours ces vignes en tonnelle sur de hauts pieux de granit. C’est dimanche et aujourd’hui le chemin n’appartient pas qu’aux seuls pèlerins : s’y joignent les joggeurs, les cyclistes ou les simples randonneurs.
Les bornes deviennent de plus en plus fréquentes et le compte à
rebours chute lentement. Les plaques rivées sur la pierre
indiquent maintenant 49.440 km, puis 48.799 km ; le
kilométrage est donné avec 3 décimales ce qui signifie que nous connaissons au mètre
près la distance qui nous sépare du centre de la place de l’Obradoiro.
Caldas de Rei est une jolie petite ville de 10 000 habitants, construite sur les rives du rio Umia. Les sources d’eau chaude qui jaillissent des collines avoisinantes ont permis d’en faire une station thermale très prisée des Galiciens. Dans la ville un bassin d’eau chaude est ouvert au public ; lorsque je vais y plonger les pieds j’y retrouve tous les visages vus à l’albergue. Un moment de décontraction dans tous les sens du terme !
Très belle étape, dans la lignée des précédentes. Tout est là pour que ce soit beau : le temps ensoleillé, des paysages variés où défilent sous nos yeux, champs de maïs, de pommes de terre, et toujours ces vignes en tonnelle sur de hauts pieux de granit. C’est dimanche et aujourd’hui le chemin n’appartient pas qu’aux seuls pèlerins : s’y joignent les joggeurs, les cyclistes ou les simples randonneurs.
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| Pas seul sur le Chemin |
Caldas de Rei est une jolie petite ville de 10 000 habitants, construite sur les rives du rio Umia. Les sources d’eau chaude qui jaillissent des collines avoisinantes ont permis d’en faire une station thermale très prisée des Galiciens. Dans la ville un bassin d’eau chaude est ouvert au public ; lorsque je vais y plonger les pieds j’y retrouve tous les visages vus à l’albergue. Un moment de décontraction dans tous les sens du terme !
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| Pontevedra |
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| Fontaine d'eau chaude |
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| Gilles , André et une pèlerine française |
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| Belle pièce sur lit de patatas fritas ! |
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