Jeudi 18 mai 2017 : Arneiro das Milhariças – Fatima : 33 km
Avec Jean-Paul, j’ai fait le choix de regrouper 2 petites étapes en une seule ; ainsi, ce soir, nous ne ferons pas halte à Minde comme le propose notre topoguide, mais dormirons à Fatima au terme d’une « balade » de 33 kilomètres. Fini le plat pays des rives du Tage, ici le Chemin enchaîne montées et descentes sur un terrain de plus en plus escarpé. Les difficultés débutent dès la sortie d’Arneiro pour atteindre une crête d’où l’on peut profiter d’une magnifique vue sur les villages alentour.
Quelques kilomètres plus loin, nous rentrons dans le Parc naturel de Serras Aire et Candeeiros, un espace de 40 000 hectares s’étendant sur un immense massif calcaire. Peu avant Minde le paysage offre un visage très particulier fait de parcelles délimitées par des murets de pierres sèches « choucos » et plantés d’oliviers.
Nous atteignons Minde peu avant
midi ; depuis Lisbonne, la canicule nous accompagne et à
cette heure du jour la température doit avoisiner les 40°.
En guise de déjeuner et comme chaque jour, je tire une ou 2 bananes du sac
avant de reprendre la route.
Des bornes indiquent la distance qui nous sépare de Fatima, 10 km puis 5 km ; un villageois m’avait confié que peu avant le sanctuaire, un chemin conduisait à la maison où vivaient les 3 petits bergers témoins de l’apparition de la Vierge ; à un certain endroit, je pense avoir trouvé ce chemin et bien qu’aucune indication le précise, je m’y engage sur plusieurs kilomètres jusqu’à atteindre le premier village, mais là, pas davantage d’indication et surtout pas trace de ce qui aurait pu être la demeure des bergers. Seule certitude, c’est que sur ce coup-là, j’ai dû ajouter 5 km aux 33 initialement prévus !
Je retrouve Jean-Paul que j’avais distancé peu après Minde et nous pénétrons ensemble dans l’immense sanctuaire de Fatima. François qui est arrivé depuis quelques heures nous conduit à notre hébergement situé derrière la basilique. Il y a 5 jours, le pape François est venu ici fêter le centenaire de l’apparition, ce qui explique qu’il y ait encore beaucoup de pèlerins sur les lieux.
Après la douche et la lessive, nous visitons le sanctuaire : la basilique où reposent les 3 petits bergers : Francisco, Jacinta et Lucie ; à droite de l’autel sur un socle de marbre, se dresse la statue de la Vierge de Fatima. À l’extérieur sur l’immense parvis, des pénitents effectuent à genoux les derniers mètres de leur pèlerinage, plus loin un office religieux est célébré en plein air.
Des bornes indiquent la distance qui nous sépare de Fatima, 10 km puis 5 km ; un villageois m’avait confié que peu avant le sanctuaire, un chemin conduisait à la maison où vivaient les 3 petits bergers témoins de l’apparition de la Vierge ; à un certain endroit, je pense avoir trouvé ce chemin et bien qu’aucune indication le précise, je m’y engage sur plusieurs kilomètres jusqu’à atteindre le premier village, mais là, pas davantage d’indication et surtout pas trace de ce qui aurait pu être la demeure des bergers. Seule certitude, c’est que sur ce coup-là, j’ai dû ajouter 5 km aux 33 initialement prévus !
Je retrouve Jean-Paul que j’avais distancé peu après Minde et nous pénétrons ensemble dans l’immense sanctuaire de Fatima. François qui est arrivé depuis quelques heures nous conduit à notre hébergement situé derrière la basilique. Il y a 5 jours, le pape François est venu ici fêter le centenaire de l’apparition, ce qui explique qu’il y ait encore beaucoup de pèlerins sur les lieux.
Après la douche et la lessive, nous visitons le sanctuaire : la basilique où reposent les 3 petits bergers : Francisco, Jacinta et Lucie ; à droite de l’autel sur un socle de marbre, se dresse la statue de la Vierge de Fatima. À l’extérieur sur l’immense parvis, des pénitents effectuent à genoux les derniers mètres de leur pèlerinage, plus loin un office religieux est célébré en plein air.
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